- EAN13
- 9782384820603
- ISBN
- 978-2-38482-060-3
- Éditeur
- Philippe Rey
- Date de publication
- 04/01/2024
- Collection
- Littérature étrangère (1)
- Nombre de pages
- 331
- Dimensions
- 22,2 x 14,7 x 2,3 cm
- Poids
- 382 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ca saigne encore
De Paolo Nori
Traduit par Nathalie Bauer, Paul Lequesne
Philippe Rey
Littérature étrangère
Offres
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22.00
Autre version disponible
Une déclaration d'amour à Dostoïevski et à la lecture, capable de changer le cours d'une vie.
Adolescent, Paolo Nori dévore un livre sans couverture ayant appartenu à son grand-père maçon : Crime et Châtiment, de Dostoïevski. Il est foudroyé. Ce choc le décide à se lancer dans des études de russe, puis dans la traduction, l'enseignement et l'écriture. En 2020 il entreprend de rédiger un ouvrage sur son écrivain de prédilection en se mettant lui-même en scène dans cet exercice. Dépeignant Dostoïevski comme un archer dont les flèches " font saigner ", parce qu'elles touchent le fond de l'âme, l'universel, il découvre, malgré le fossé des années, d'étranges correspondances entre la vie du Russe et la sienne.L'ironie, l'humour et l'anticonformisme de Nori mêlés au sérieux de la biographie produisent un cocktail explosif. S'incarnent, sous les yeux du lecteur, non seulement Dostoïevski, mais aussi Tourgueniev, Pouchkine, Gogol, Tolstoï et autres Leskov, avec autant de force que l'écrivain italien en personne et les membres de son entourage – ses parents, sa compagne surnommée " Togliatti " comme l'ancien secrétaire du PCI dit " le Meilleur " ou leur fille " la Bataille " –, dont nous sont contés les joies et les déboires.Ce livre plein de vie et d'allégresse est avant tout une déclaration d'amour à la lecture, capable de changer le cours d'une vie.
Adolescent, Paolo Nori dévore un livre sans couverture ayant appartenu à son grand-père maçon : Crime et Châtiment, de Dostoïevski. Il est foudroyé. Ce choc le décide à se lancer dans des études de russe, puis dans la traduction, l'enseignement et l'écriture. En 2020 il entreprend de rédiger un ouvrage sur son écrivain de prédilection en se mettant lui-même en scène dans cet exercice. Dépeignant Dostoïevski comme un archer dont les flèches " font saigner ", parce qu'elles touchent le fond de l'âme, l'universel, il découvre, malgré le fossé des années, d'étranges correspondances entre la vie du Russe et la sienne.L'ironie, l'humour et l'anticonformisme de Nori mêlés au sérieux de la biographie produisent un cocktail explosif. S'incarnent, sous les yeux du lecteur, non seulement Dostoïevski, mais aussi Tourgueniev, Pouchkine, Gogol, Tolstoï et autres Leskov, avec autant de force que l'écrivain italien en personne et les membres de son entourage – ses parents, sa compagne surnommée " Togliatti " comme l'ancien secrétaire du PCI dit " le Meilleur " ou leur fille " la Bataille " –, dont nous sont contés les joies et les déboires.Ce livre plein de vie et d'allégresse est avant tout une déclaration d'amour à la lecture, capable de changer le cours d'une vie.
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